Quels droits donner aux animaux ?
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Publié dans: | La Recherche No 537-538 |
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Auteur principal: | |
Autres auteurs: | |
Support: | Article de revue |
Publié: |
2018.
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Sujets: | |
Résumé: | La science - éthologie et primatologie en particulier - le montre de manière de plus en plus précise : les animaux ressentent des émotions, ont des capacités cognitives parfois élaborées, une vie psychique, etc. Forts de ces découvertes, certains, à l'image de la philosophe Florence Burgat, réclament une évolution du droit : les animaux, considérés depuis 2015 comme des "êtres vivants doués de sensibilité" - tout en restant des biens appropriables -, devraient être reconnus comme des "personnes non humaines" et bénéficier des droits afférents, c'est-à-dire le droit de ne pas être tué, torturé ou enfermé. Le point de vue, en plein essor, ne fait pas l'unanimité. Les opposants, tels l'ethnologue et anthropologue Jean-Pierre Digard ou le philosophe Etienne Bimbenet, s'inquiètent de l'importance, démesurée à leurs yeux, qui est accordée aux droits des animaux... tout cela, aux dépens de la considération que nous portons à notre propre humanité. Deux camps irréconciliables ? Peut -être, même si, à la lecture de ce dossier, on relèvera un point de convergence : un appel à un plus grand respect envers les animaux. Sommaire. "Ces des "personnes non humaines"", entretien avec Florence Burgat. L'animal est un anti-humanisme. |
Lien: | Dans:
La Recherche |
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001 | 356108 | ||
008 | 180723s2018 xx ||| |||| 00| 0 ||| d | ||
100 | |a Glavieux, Vincent. | ||
245 | 1 | 0 | |a Quels droits donner aux animaux ? |c Vincent Glavieux. |
260 | |c 2018. | ||
300 | |a p. 112-118. | ||
500 | |a Dossier de 2 articles. | ||
520 | |a La science - éthologie et primatologie en particulier - le montre de manière de plus en plus précise : les animaux ressentent des émotions, ont des capacités cognitives parfois élaborées, une vie psychique, etc. Forts de ces découvertes, certains, à l'image de la philosophe Florence Burgat, réclament une évolution du droit : les animaux, considérés depuis 2015 comme des "êtres vivants doués de sensibilité" - tout en restant des biens appropriables -, devraient être reconnus comme des "personnes non humaines" et bénéficier des droits afférents, c'est-à-dire le droit de ne pas être tué, torturé ou enfermé. Le point de vue, en plein essor, ne fait pas l'unanimité. Les opposants, tels l'ethnologue et anthropologue Jean-Pierre Digard ou le philosophe Etienne Bimbenet, s'inquiètent de l'importance, démesurée à leurs yeux, qui est accordée aux droits des animaux... tout cela, aux dépens de la considération que nous portons à notre propre humanité. Deux camps irréconciliables ? Peut -être, même si, à la lecture de ce dossier, on relèvera un point de convergence : un appel à un plus grand respect envers les animaux. Sommaire. "Ces des "personnes non humaines"", entretien avec Florence Burgat. L'animal est un anti-humanisme. | ||
650 | |a Conscience animale | ||
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