Faut-il avoir peur de l'évaluation ?

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Auteur principal: Hadji, Charles, 1942-
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Bruxelles : De Boeck, DL 2012, cop. 2012.
Collection: Pédagogies en développement
Sujets:
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: A partir de six cas concrets, il s'agit d'étudier la nature et le sens de la pratique évaluative dans le domaine de l'éducation et de l'enseignement : respecter l'essence de l'activité, s'inscrire dans un questionnement directeur, ne pas sombrer dans la religion du chiffre. L'auteur propose ainsi les bases d'une évaluation démocratique et éthique.
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245 1 0 |a Faut-il avoir peur de l'évaluation ?   |c Charles Hadji. 
260 |a Bruxelles :  |b De Boeck,  |c DL 2012, cop. 2012. 
300 |a 1 vol. (317 p.) :  |b couv. ill. ;  |c 24 cm. 
490 0 |a Pédagogies en développement 
500 |a L'ouvrage porte par erreur : ISSN 0777-5245 
504 |a Bibliogr. p. [291]-297. Index 
520 |a A partir de six cas concrets, il s'agit d'étudier la nature et le sens de la pratique évaluative dans le domaine de l'éducation et de l'enseignement : respecter l'essence de l'activité, s'inscrire dans un questionnement directeur, ne pas sombrer dans la religion du chiffre. L'auteur propose ainsi les bases d'une évaluation démocratique et éthique. 
520 |a On constate actuellement une extension du domaine de l'évaluation. Cette fièvre évaluative ne serait-elle pas le symptôme d'une maladie redoutable ? L'évaluation n'est-elle pas, à l'heure du marché roi, condamnée à devenir une calamité sociale ? Ce qui est en cause est sa légitimité même, en premier lieu du point de vue méthodologique, en second lieu du point de vue social et éthique. Après avoir étudié six cas concrets, particulièrement significatifs, cet ouvrage s'interroge sur la possibilité d'évaluer aujourd'hui "à bon escient", c'est-à-dire en gardant raison. En s'interrogeant à la fois sur l'essence, et sur le sens, de la pratique évaluative, cette quête du "bon usage" met d'abord en évidence trois grands impératifs d'ordre méthodologique : respecter l'essence de l'activité ; s'inscrire dans un questionnement directeur ; ne pas sombrer dans la religion du chiffre. Elle jette ensuite les bases d'une évaluation qui serait à la fois "démocratique" dans ses usages sociaux, et éthique dans son souci de respecter la dignité humaine. Elle s'interroge, pour conclure, sur la possibilité pour l'évaluation d'échapper à la soumission idéologique. [Source : 4e de couv.] 
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