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LEADER |
03776nam a22003377a 4500 |
001 |
411137 |
008 |
190211t20192019xxe ||| |||| 00| 0 fre d |
020 |
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|a 9782072757495 (br.) :
|c 22 EUR
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024 |
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|a 9782072757495
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041 |
0 |
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|a fre
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082 |
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|a 320.51
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084 |
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|a PB.2
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100 |
1 |
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|a Stiegler, Barbara,
|d 1971-
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240 |
1 |
0 |
|a Sur un nouvel impératif politique
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245 |
1 |
1 |
|a "Il faut s'adapter" :
|b sur un nouvel impératif politique
|c Barbara Stiegler.
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260 |
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|a [Paris] :
|b Gallimard,
|c DL 2019.
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300 |
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|a 1 vol. (336 p.) ;
|c 21 cm.
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490 |
0 |
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|a NRF essais
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500 |
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|a Autres tirages : 2020, 2021, 2022
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504 |
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|a Bibliogr. p. [287]-295. Notes bibliogr. p. [296]-323. Index
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505 |
0 |
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|a P. 9 -- Avant-propos -- P. 11 -- Introduction. Le retard de l'espèce humaine -- P. 21 -- Chapitre premier. Réadapter l'espèce humaine à la grande société -- P. 41 -- Chapitre II. Une démocratie darwinienne -- P. 94 -- Chapitre III. Les sources biologiques du conflit -- P. 131 -- Chapitre IV. Vers un nouveau libéralisme -- P. 159 -- Chapitre V. La grande révolution : mettre l'intelligence hors circuit -- P. 188 -- Chapitre VI. Réformer l'espèce humaine par le droit -- P. 220 -- Chaoitre VII. L'agenda néolibéral : vers un nouvel âge de la biopolitique -- P. 271 -- Conclusion. Gouverner la vie et les vivants. Vers de nouvelles conflictualités
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520 |
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|a L'auteure met en évidence l'idée généralement admise d'une nécessité de s'adapter dans un monde complexe régi par la pensée néolibérale. Se fondant sur les théories de W. Lippmann et de J. Dewey, elle invite à une réflexion sur les liens entre la pensée politique et l'évolution humaine pour montrer qu'une autre interprétation du sens de la vie est possible. Grand prix Moron 2019. ↑Electre 2022
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520 |
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|a D'où vient ce sentiment diffus, de plus en plus oppressant et de mieux en mieux partagé, d'un retard généralisé, lui-même renforcé par l'injonction permanente à s'adapter au rythme des mutations d'un monde complexe ? Comment expliquer cette colonisation progressive du champ économique, social et politique par le lexique biologique de l'évolution ? La généalogie de cet impératif nous conduit dans les années 1930 aux sources d'une pensée politique, puissante et structurée, qui propose un récit très articulé sur le retard de l'espèce humaine par rapport à son environnement et sur son avenir. Elle a reçu le nom de "néolibéralisme" : néo car, contrairement à l'ancien qui comptait sur la libre régulation du marché pour stabiliser l'ordre des choses, le nouveau en appelle aux artifices de l'Etat (droit, éducation, protection sociale) afin de transformer l'espèce humaine et construire ainsi artificiellement le marché : une biopolitique en quelque sorte. Il ne fait aucun doute pour Walter Lippmann, théoricien américain de ce nouveau libéralisme, que les masses sont rivées à la stabilité de l'état social (la stase, en termes biologiques), face aux flux qui les bousculent. Seul un gouvernement d'experts peut tracer la voie de l'évolution des sociétés engoncées dans le conservatisme des statuts. Lippmann se heurte alors à John Dewey, grande figure du pragmatisme américain, qui, à partir d'un même constat, appelle à mobiliser l'intelligence collective des publics, à multiplier les initiatives démocratiques, à inventer par le bas l'avenir collectif. Un débat sur une autre interprétation possible du sens de la vie et de ses évolutions au coeur duquel nous sommes plus que jamais
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650 |
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|a Systèmes sociaux
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650 |
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|a Libéralisme
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650 |
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|a Libéralisme économique
|x Philosophie
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650 |
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|a Biopolitique.
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993 |
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|a Livre
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994 |
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|a EX
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995 |
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|a 233942637
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997 |
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|0 411137
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