Discours sur le colonialisme ; suivi du Discours sur la Négritude
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Support: | Livre |
Langue: | Français |
Publié: |
Paris :
Présence africaine,
2004.
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Sujets: | |
Autres localisations: | Voir dans le Sudoc |
Résumé: | Comme naguère Jean-Jacques Rousseau dénonçait le scandale d'une société fondée sur l'inégalité, avec la même clarté, et un bonheur d'écriture que seule peut inspirer la passion du juste, Aimé Césaire prend ses distance par rapport au monde occidental et le juge. Ce discours est un acte d'accusation et de libération. Sont assignés quelques ténors de la civilisation blanche et de son idéologie mystifiante, l'Humanisme formel et froid. En pleine lumière sont exposées d'horribles réalités : la barbarie du colonisateur et le malheur du colonisé, le fait même de la colonisation qui n'est qu'une machine exploiteuse d'hommes et déshumanisante, une machine à détruire des civilisations qui étaient belles, dignes et fraternelles. C'est la première fois qu'avec cette force est proclamée, face à l'Occident, la valeur des cultures nègres. Mais la violence de la pureté du cri sont à la mesure d'une grande exigence, ce texte chaud, à chaque instant, témoigne du souci des hommes, d'une authentique universalité humaine. Il s'inscrit dans la lignée de ces textes majeurs qui ne cessent de réveiller en chacun de nous la générosité de la lucidité révolutionnaires. Le Discours sur le colonialisme est suivi du Discours sur la Négritude, qu'Aimé Césaire a prononcé à l'Université Internationale de Floride (Miami), en 1987 |
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Discours sur le colonialisme Est constitué de: Discours sur la Négritude |
Résumé: | Comme naguère Jean-Jacques Rousseau dénonçait le scandale d'une société fondée sur l'inégalité, avec la même clarté, et un bonheur d'écriture que seule peut inspirer la passion du juste, Aimé Césaire prend ses distance par rapport au monde occidental et le juge. Ce discours est un acte d'accusation et de libération. Sont assignés quelques ténors de la civilisation blanche et de son idéologie mystifiante, l'Humanisme formel et froid. En pleine lumière sont exposées d'horribles réalités : la barbarie du colonisateur et le malheur du colonisé, le fait même de la colonisation qui n'est qu'une machine exploiteuse d'hommes et déshumanisante, une machine à détruire des civilisations qui étaient belles, dignes et fraternelles. C'est la première fois qu'avec cette force est proclamée, face à l'Occident, la valeur des cultures nègres. Mais la violence de la pureté du cri sont à la mesure d'une grande exigence, ce texte chaud, à chaque instant, témoigne du souci des hommes, d'une authentique universalité humaine. Il s'inscrit dans la lignée de ces textes majeurs qui ne cessent de réveiller en chacun de nous la générosité de la lucidité révolutionnaires. Le Discours sur le colonialisme est suivi du Discours sur la Négritude, qu'Aimé Césaire a prononcé à l'Université Internationale de Floride (Miami), en 1987 Dans ce pamphlet publié en 1955, Aimé Césaire, poète, dramaturge et homme politique, exposait les terribles réalités de la colonisation. Pour la première fois aussi, avec une force inégalée, était proclamée la valeur des cultures nègres. Dans cette édition, est ajouté le discours prononcé à la Conférence hémisphérique tenue à Miami (Floride) en février 1987. ↑Electre 2022 |
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Description: | L'ISBN 2-7087-0531-8 est aussi celui de l'édition de 1989, qui a fait l'objet de retirages en 1994 et 1995, et qui ne comportait pas le "Discours sur la négritude", contrairement à cette édition de 2004 Autres tirages : 2005, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011, 2012, 2013, 2015, 2019 |
Description matérielle: | 1 vol. (92 p.) ; 18 cm. |
Bibliographie: | Notes bibliogr. |
ISBN: | 9782708705319 (br.) : 2708705318 (br.) |