Le flot de la poésie continuera de couler
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Autres auteurs: | |
Support: | Livre |
Langue: | Français |
Publié: |
Paris :
Philippe Rey,
DL 2020.
impr. en Espagne. |
Sujets: | |
Autres localisations: | Voir dans le Sudoc |
Résumé: | Un hommage aux poètes chinois de l'époque Tang (618-907), parmi lesquels Li Bai, Du Fu, Wang Wei ou Bai Juyi. L'écrivain fait revivre ces figures d'une époque troublée, qui aimaient le vin, les femmes, la nature, les errances et partageaient les souffrances du peuple face à la pauvreté ou à la violence des guerres, et s'immerge dans leur intimité, éclairant leur processus créatif. ↑Electre 2020 |
LEADER | 02354nam a22003017a 4500 | ||
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001 | 384437 | ||
008 | 201201s2020 xxg ||| |||| 00| 0 fre d | ||
020 | |a 9782848768410 (br.) : |c 20 EUR | ||
024 | |a 9782848768410 | ||
041 | 1 | |a fre |h chi | |
082 | |a 895.113 09 | ||
084 | |a 800 | ||
100 | 1 | |a Le Clézio, Jean-Marie Gustave, |d 1940- |4 trl | |
245 | 1 | 3 | |a Le flot de la poésie continuera de couler |c J. M. G. Le Clézio ; avec la collaboration de Dong Qiang ; [traduit du chinois par JMG Le Clézio et Dong Qiang, sauf ""Plainte d'une jeune mariée dans on boudoir" Jiang Yuanqiu, "La cithare aux cinquante cordes", Shi Xueying, "La fin du ciel" Zhang Lu]. |
260 | |a Paris : |b Philippe Rey, |c DL 2020. | ||
260 | |a impr. en Espagne. | ||
300 | |a 1 vol. (205 p.) : |b ill. en coul. ; |c 21 cm. | ||
500 | |a Contient la traduction française de nombreux poèmes chinois | ||
500 | |a Lexique | ||
520 | |a Un hommage aux poètes chinois de l'époque Tang (618-907), parmi lesquels Li Bai, Du Fu, Wang Wei ou Bai Juyi. L'écrivain fait revivre ces figures d'une époque troublée, qui aimaient le vin, les femmes, la nature, les errances et partageaient les souffrances du peuple face à la pauvreté ou à la violence des guerres, et s'immerge dans leur intimité, éclairant leur processus créatif. ↑Electre 2020 | ||
520 | |a Je suis entré dans la poésie Tang presque à l'improviste, mais non par hasard, en lisant un poème de Li Bai, qui met face à face un homme et une montagne. Le poète décrit un lieu d'immobilité et de majesté devant lequel l'être humain, dans sa faiblesse et son impermanence, ne peut que s'asseoir et regarder. Li Bai m'apportait autre chose, à quoi je n'étais pas préparé par mon éducation et par mon langage : une plénitude, une paix intérieure. Cette paix n'était pas difficile à atteindre. Il suffisait de s'asseoir et de regarder. La poésie Tang est sans doute le moyen de garder ce contact avec le monde réel, elle nous invite au voyage hors de nous-mêmes, nous fait partager les règnes, les durées, les rêves. J.M.G. Le Clézio | ||
650 | |a Poésie chinoise |y 618-907(Dynastie des T ang) | ||
650 | |a Poésie chinoise |y 618-907(Dynastie des T ang) |x Traductions françaises | ||
700 | 1 | |a Dong, Qiang, |d 1967- |4 aut |4 trl | |
993 | |a Livre | ||
994 | |a BC | ||
995 | |a 250857138 | ||
997 | |0 384437 |