Silence de l'image, violence du regard. Sur Georges Didi-Huberman
Enregistré dans:
Foilsithe in: | Esprit n° 465 |
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Príomhúdar: | |
Formáid: | Article de revue |
Teanga: | Français |
Foilsithe: |
2020.
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Ábhair: | |
Achoimre: | Comme certains, nombreux peut-être, Eric Marty est, un jour, entré dans l'oeuvre de Georges Didi-Huberman pris par la certitude anticipée de pénétrer dans un univers très silencieux. Il ne se rappelle plus bien de quel livre il s'agissait. Peut-être "Devant l'image" ou "Ce que nous voyons, ce qui nous regarde". Les livres qui touchent à l'image se lisent avec lenteur. C'est que nous nous assourdissons nous-mêmes au moment de les ouvrir, comme certains ferment parfois les yeux en écoutant la musique. C'est peut-être une bonne méthode. D'une certaine manière, lire Didi-Huberman, c'est entrer dans un monde où il est le seul à parler. |
Míreanna Gaolmhara: | Coinnithe i:
Esprit |
BU Lettres
Ionad | Gairmuimhir | Stádas | |
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n° 465 (2020)
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Libre accès | 100 RIG 13 |
Dispo. du n° : voir "Lien"
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