Agir pour connaître

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Détails bibliographiques
Auteur principal: Brouillet, Denis.
Autres auteurs: Presses universitaires de Grenoble.
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Fontaine : PUG, DL 2019.
Collection: Sciences cognitives
Sujets:
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: "Depuis ces vingt dernières années, dans le domaine des sciences cognitives, les chercheurs s'interrogent sur la finalité du système cognitif : représenter le monde ou faire advenir le monde. Dans le premier cas, l'action n'a pas sa place, dans le second cas, elle est centrale. Ainsi, on en est venu à considérer que c'est l'action qui fait la cognition : je perçois et je connais le monde en fonction de mes capacités d'action. Cet ouvrage s'appuie sur des travaux expérimentaux récents pour rappeler les conditions qui ont provoqué ce changement. Il s'intéresse à l'approche énactiviste de la cognition selon laquelle la connaissance émerge de l'interaction entre un organisme et son environnement. Dès lors, il développe le rôle de l'action dans plusieurs processus cognitifs : le langage, la perception, la mémoire et l'émotion. Enfin, il envisage les conséquences de cette approche dans le domaine du handicap et propose des perspectives. Destiné aux chercheurs, enseignants et étudiants en sciences cognitives, cet ouvrage constitue la première synthèse en langue française des recherches qui ont montré que nos cognitions sont la conséquence de nos actions."
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100 1 |a Brouillet, Denis. 
245 1 0 |a Agir pour connaître   |c Denis Brouillet. 
260 |a Fontaine :  |b PUG,  |c DL 2019. 
300 |a 1 vol. (113 p.) :  |b couv. ill. en coul. ;  |c 24 cm. 
490 0 |a Sciences cognitives 
500 |a PUG = Presses universitaires de Grenoble 
504 |a Bibliogr. p. 87-[112]. Notes bibliogr. en bas de pages 
520 |a "Depuis ces vingt dernières années, dans le domaine des sciences cognitives, les chercheurs s'interrogent sur la finalité du système cognitif : représenter le monde ou faire advenir le monde. Dans le premier cas, l'action n'a pas sa place, dans le second cas, elle est centrale. Ainsi, on en est venu à considérer que c'est l'action qui fait la cognition : je perçois et je connais le monde en fonction de mes capacités d'action. Cet ouvrage s'appuie sur des travaux expérimentaux récents pour rappeler les conditions qui ont provoqué ce changement. Il s'intéresse à l'approche énactiviste de la cognition selon laquelle la connaissance émerge de l'interaction entre un organisme et son environnement. Dès lors, il développe le rôle de l'action dans plusieurs processus cognitifs : le langage, la perception, la mémoire et l'émotion. Enfin, il envisage les conséquences de cette approche dans le domaine du handicap et propose des perspectives. Destiné aux chercheurs, enseignants et étudiants en sciences cognitives, cet ouvrage constitue la première synthèse en langue française des recherches qui ont montré que nos cognitions sont la conséquence de nos actions." 
520 |a L'auteur propose de replacer l'action au centre des théories cognitives en analysant son rôle dans l'acquisition des connaissances. Il présente une synthèse des recherches récentes qui démontrent qu'au lieu d'être un simple produit des cognitions humaines, l'action peut en être la source. ↑Electre 2020 
650 |a Psychologie cognitive 
650 |a Théorie de l'action 
650 |a Énaction 
710 2 |a Presses universitaires de Grenoble.  |4 pbl 
921 |a Livres de la sem. 18/10/19 
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993 |a Livre 
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