La part sauvage du monde : penser la nature dans l'Anthropocène

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Auteur principal: Maris, Virginie, 1978-
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Paris : Éditions du Seuil, DL 2018.
Collection: Anthropocène
Sujets:
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: A rebours d'un système entièrement modelé par les humains, la philosophe réhabilite l'idée de nature et défend la préservation du monde sauvage. Elle invite à remettre au coeur de la réflexion sur la crise environnementale la nécessité de limiter l'emprise humaine sur la planète. ↑Electre 2019
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020 |a 9782021332544 (br.) :  |c 19 EUR 
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100 1 |a Maris, Virginie,  |d 1978- 
245 1 3 |a La part sauvage du monde :  |b penser la nature dans l'Anthropocène   |c Virginie Maris. 
260 |a Paris :  |b Éditions du Seuil,  |c DL 2018. 
300 |a 1 vol. (259 p.) :  |b couv. ill. en coul. ;  |c 19 cm. 
490 1 |a Anthropocène  |x 2270-2431 
504 |a Notes bibliogr. p. [243]-259. 
505 0 |a Première partie : Le grand partage -- 1. Le concept de la nature -- 2. Histoire d une dichotomie -- 3. Le grand bazar -- Deuxième partie : la fin de la nature -- 4. Acculturation de la nature la fin d un concept -- 5. Anthropocène la fin d un monde -- 6. Du bouleversement dans le sciences -- 7. Quelles sciences de la nature pour un monde sans nature -- Troisième partie : L absorption -- 8. Technique : la nature comme artifice -- 9. Absorption économique : la nature comme marchandise -- 10. La nature comme base de données -- 11. La réconciliation : une écologie gagnante-gagnante ? -- Quatrième partie : La part sauvage -- 12. Les attributs de la nature -- 13. Ce que le respect du sauvage n est pas -- 14. Chercher le sauvage 
520 |a A rebours d'un système entièrement modelé par les humains, la philosophe réhabilite l'idée de nature et défend la préservation du monde sauvage. Elle invite à remettre au coeur de la réflexion sur la crise environnementale la nécessité de limiter l'emprise humaine sur la planète. ↑Electre 2019 
520 |a La 4e de couverture indique : "En déclarant la mort de la nature, nombreux sont ceux qui voient dans l'Anthropocène l'opportunité de prendre enfin les commandes d'un système-terre entièrement modelé par les humains. À rebours de cet appel au pilotage global, Virginie Maris réhabilite l'idée de nature et défend la préservation du monde sauvage. Elle revisite pour cela les attributs de la nature que les fantasmes prométhéens du contrôle total s'appliquent à nier : son extériorité, en repensant la frontière entre nature et culture ; son altérité, en reconnaissant la façon dont les non-humains constituent leurs mondes tout comme nous constituons le nôtre ; et enfin son autonomie, en se donnant les moyens de respecter et de valoriser ces mondes multiples. L'auteure invite à remettre au cœur de la réflexion sur la crise environnementale la nécessité de limiter l'emprise humaine sur la planète, en redonnant toute sa place au respect de cette nature indocile qui peuple nos paysages, nos imaginaires, et qui constitue finalement l autre face de notre humanité." 
650 |a Nature  |x Effets de l'homme 
650 |a Environnement  |x Protection 
650 |a Anthropocène  |x Philosophie 
650 |a Écologie humaine 
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