Les vies de papier

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Auteur principal: Alameddine, Rabih, 1959-
Autres auteurs: Richard, Nicolas, 1963-
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Paris : Les Escales, cop. 2016.
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: Aaliya Saleh, 72 ans, a les cheveux bleus. Elle a toujours été non conventionnelle, sans mari, sans enfants, sans religion, et a toujours lutté contre le carcan imposé par la société libanaise. Une seule passion l'anime : la littérature. Tandis qu'elle tente de maîtriser son corps vieillissant et sa spontanéité, elle doit faire face à une catastrophe inimaginable. Prix Femina étranger 2016. ↑Electre 2016
Traduit de: -- An unnecessary woman
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020 |a 9782365692069 (br.) :  |c 20.90 EUR 
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100 1 |a Alameddine, Rabih,  |d 1959- 
245 1 4 |a Les vies de papier   |c Rabih Alameddine ; traduit de l'anglais par Nicolas Richard. 
260 |a Paris :  |b Les Escales,  |c cop. 2016. 
300 |a 1 vol. (329 p.) :  |b couv. ill. en coul. ;  |c 24 cm. 
500 |a Traduit de : "An unnecessary woman" 
520 |a Aaliya Saleh, 72 ans, a les cheveux bleus. Elle a toujours été non conventionnelle, sans mari, sans enfants, sans religion, et a toujours lutté contre le carcan imposé par la société libanaise. Une seule passion l'anime : la littérature. Tandis qu'elle tente de maîtriser son corps vieillissant et sa spontanéité, elle doit faire face à une catastrophe inimaginable. Prix Femina étranger 2016. ↑Electre 2016 
520 |a La 4e de couverture indique : "Aaliya Saleh, 72 ans, les cheveux bleus, a toujours refusé les carcans imposés par la société libanaise. À l'ombre des murs anciens de son appartement, elle s'apprête pour son rituel préféré. Chaque année, le 1er janvier, après avoir allumé deux bougies pour Walter Benjamin, cette femme irrévérencieuse et un brin obsessionnelle commence à traduire en arabe l'une des oeuvres de ses romanciers préférés : Kafka, Pessoa ou Nabokov. À la fois refuge et plaisir aveugle , la littérature est l'air qu'elle respire, celui qui la fait vibrer comme cet opus de Chopin qu'elle ne cesse d'écouter. C'est entourée de livres, de cartons remplis de papiers, de feuilles volantes de ses traductions qu'Aaliya se sent vivante. Cheminant dans les rues, Aaliya se souvient ; de l'odeur de sa librairie, des conversations avec son amie Hannah, de ses lectures à la lueur de la bougie tandis que la guerre faisait rage, de la ville en feu, de l'imprévisibilité de Beyrouth." 
700 1 |a Richard, Nicolas,  |d 1963-  |4 trl 
765 0 |t An unnecessary woman 
993 |a Livre 
994 |a BC 
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