La participation contre la démocratie ; suivi de L'engagement : une fidélité

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Auteur principal: Godbout, Jacques, 1939-
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Montréal : Liber, 2014.
Édition: 2ème édition.
Sujets:
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: "La participation contre la démocratie" est la formule qui résume le mieux les quinze années de recherches menées par Jacques T. Godbout au cours des années 1960 et 1970 sur les expériences de participation des usagers dans divers organismes (syndicats, CLSC, commissions de consultation, groupes populaires...). La participation est en effet apparue non pas comme un supplément de démocratie, mais comme une manière de se passer des mécanismes démocratiques pour tous ceux qui (professionnels, bureaucrates, militants) détiennent dans les institutions un pouvoir dont la source est étrangère au processus démocratique, et dont la légitimité n'est pas fondée sur la représentation politique. La participation qu'on considère généralement comme un contre-pouvoir, est davantage une technique professionnelle pour maximiser le pouvoir. Si ce constat pessimiste avait de quoi surprendre il y a trente ans, son actualité, encore aujourd'hui, en étonnera plus d'un. ↑Electre 2015
Lien: Publié avec: L'engagement
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300 |a 1 vol. (216 p.) :  |b couv. ill. en coul. ;  |c 23 cm. 
504 |a Bibliogr. p. [209]-216. Notes bibliogr. 
520 |a "La participation contre la démocratie" est la formule qui résume le mieux les quinze années de recherches menées par Jacques T. Godbout au cours des années 1960 et 1970 sur les expériences de participation des usagers dans divers organismes (syndicats, CLSC, commissions de consultation, groupes populaires...). La participation est en effet apparue non pas comme un supplément de démocratie, mais comme une manière de se passer des mécanismes démocratiques pour tous ceux qui (professionnels, bureaucrates, militants) détiennent dans les institutions un pouvoir dont la source est étrangère au processus démocratique, et dont la légitimité n'est pas fondée sur la représentation politique. La participation qu'on considère généralement comme un contre-pouvoir, est davantage une technique professionnelle pour maximiser le pouvoir. Si ce constat pessimiste avait de quoi surprendre il y a trente ans, son actualité, encore aujourd'hui, en étonnera plus d'un. ↑Electre 2015 
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650 |a Démocratie  |x Aspect social 
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