Se définir par son cerveau : la biologie de l'esprit comme forme de vie

Enregistré dans:
Détails bibliographiques
Publié dans: Esprit n° 411
Auteur principal: Ehrenberg, Alain, 1950-
Support: Article de revue
Langue: Français
Publié: 2015.
Sujets:
Résumé: L'opposition entre neurosciences et sciences sociales est souvent caricaturale, et caricaturée. Or il faut considérer les neurosciences cognitives elles-mêmes comme faisant partie du social, donc soumises à ses influences. On le voit bien dans la manière dont certains patients - les autistes de haut niveau - se définissent en tant qu'individus par leur cerveau et ses spécificités. La maladie n'est plus un handicap, mais un atout, une part de soi.
Lien: Dans: Esprit
+ d'infos
Résumé:L'opposition entre neurosciences et sciences sociales est souvent caricaturale, et caricaturée. Or il faut considérer les neurosciences cognitives elles-mêmes comme faisant partie du social, donc soumises à ses influences. On le voit bien dans la manière dont certains patients - les autistes de haut niveau - se définissent en tant qu'individus par leur cerveau et ses spécificités. La maladie n'est plus un handicap, mais un atout, une part de soi.
Description:Fait partie d'un dossier de 5 articles intitulé ÷Nouvelles politiques du vivant÷.
Description matérielle:p. 68-81.
ISSN:0014-0759