Résumé: |
A l'origine destinés à répondre à la misère des ouvriers, les centres sociaux se présentent aujourd'hui comme des médiateurs entre les habitants et les décideurs. Partant d'une analyse de la fin de l'Etat-Providence, l'auteur s'intéresse aux défis quotidiens des centres associatifs : précarité des publics, des personnels et des structures, perte de sens du social, autonomie associative réduite, malaise des habitants. Un tableau sans complaisance d'une crise, renvoyant à la nécessité de concilier l'expertise avec le militantisme, qui doit rester le coeur du social. |