Le carbone 14 et ses apports à l'archéologie.

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Publié dans: Les Dossiers d'archéologie (Dijon) n° 306
Support: Article de revue
Langue: Français
Publié: Dijon : Éditions Faton, 2005.
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Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: La datation du Linceul de Turin en 1988 a sans doute popularisé la méthode de datation au carbone 14 auprès du grand public, mais les archéologues connaissent son intérêt depuis plus longtemps. Depuis sa découverte et les toutes premières mesures faites en 1949 et 1950, la méthode de datation par le carbone 14 (ou radiocarbone) a suscité un grand intérêt dans le domaine de l'archéologie. Cette méthode a permis de fournir des milliers de dates et de fixer ainsi toute la chronologie de la préhistoire et de l'histoire de l'homme moderne. Ses applications sont multiples, et le présent dossier vous fournit quelques exemples pertinents des études et des résultats (parfois contestés) auxquels cette méthode a abouti. Moyen de datation mais également instrument d'identification d'une oeuvre d'art ou d'une relique précieuse, le carbone 14 demeure, aujourd'hui, un moyen d'investigation incontournable.[Source : site de la revue]
Lien: Dans: Les Dossiers d'archéologie (Dijon)
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245 0 3 |a Le carbone 14 et ses apports à l'archéologie. 
260 |a Dijon :  |b Éditions Faton,  |c 2005. 
300 |a 1 vol. (79 p.) ;  |c 27 cm. 
500 |a Notice rédigée d'après la page de couverture et le sommaire 
500 |a Numéro de : "Les dossiers d'archéologie (Dijon)", ISSN 1141-7137, (septembre 2005) n°306 
505 0 |a P.02 -- Le carbone 14, une méthode essentielle en archéologie -- P.10 -- La datation directe des peintures préhistoriques par la méthode du carbone 14 -- P.16 -- Le site de Solutré, un lieu d'application privilégié pour l'emploi du C14 -- P.26 -- Le C14 et le Néolithique du Proche-Orien -- P.30 -- Le radiocarbone et la néolithisation -- P.38 -- Le cas de la grotte du Gardon (Ain) -- P.44 -- Construire une chronologie dans la vallée du Nil, l'exemple de Kerma en Nubie -- P.54 -- La datation des reliques par le carbone 14 -- P.60 -- La datation radiocarbone du Linceul de Turin -- P.66 -- Le carbone 14 et l'authentification des œuvres d'art -- P.72 -- Un tombeau des comtes de Toulouse daté de l'an Mil 
520 |a La datation du Linceul de Turin en 1988 a sans doute popularisé la méthode de datation au carbone 14 auprès du grand public, mais les archéologues connaissent son intérêt depuis plus longtemps. Depuis sa découverte et les toutes premières mesures faites en 1949 et 1950, la méthode de datation par le carbone 14 (ou radiocarbone) a suscité un grand intérêt dans le domaine de l'archéologie. Cette méthode a permis de fournir des milliers de dates et de fixer ainsi toute la chronologie de la préhistoire et de l'histoire de l'homme moderne. Ses applications sont multiples, et le présent dossier vous fournit quelques exemples pertinents des études et des résultats (parfois contestés) auxquels cette méthode a abouti. Moyen de datation mais également instrument d'identification d'une oeuvre d'art ou d'une relique précieuse, le carbone 14 demeure, aujourd'hui, un moyen d'investigation incontournable.[Source : site de la revue] 
650 |a Datation  |x Méthode du carbone 14 
650 |a Archéologie  |x Datation 
650 |a Articles de périodiques 
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993 |a Article de revue 
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