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|a [À M. l'abbé Servien ; À M. l'abbé de *** (Bussy) qui pleurait la mort de sa maîtresse ; À une dame un peu mondaine et trop dévote ; À M. le Pce Eugène, 1716 ; À Mme de ***, 1716 (÷De cet agréable rivage...÷) ; À Mme de G*** (÷Quel triomphe accablant, quelle indigne victoire...÷) ; À M. le duc d'Orléans, régent, 1716 ; À S. A. S. Mgr le Pce de Conti, 1718 ; À M. de La Faluère de Genonville, sur une maladie ; À M. le duc de Sully, 1720 ; À M. le Mal de Villars, 1721 ; À la reine en lui envoyant la tragédie de ÷Mariamne÷ ; À M. Pallu, conseiller d'État (÷Quoi, le dieu de la poésie...÷) ; À Mlle Le Couvreur (÷L'Heureux talent...÷) ; Aux mânes de M. de Genonville ; À M. de Formont, en lui envoyant les oeuvres de Descartes et de Malebranche ; À M. de Cideville, 1731 ; Épître connue sous le nom ÷des Vous et des tu÷ ; À une dame (ou soi-disant telle), 1732 ; À Mme de Fontaine-Martel, 1732 ; À Mlle Gaussin qui a représenté le rôle de Zaïre avec beaucoup de succès ; À Mme la Mise Du Châtelet sur sa liaison avec Maupertuis ; À Mme la Mise Du Châtelet sur la calomnie ; À M***, du camp de Philisbourg, le 3 juillet 1734 ; À M. le Cte de Tressan, 1734 ; À Uranie, 1734 ; À Mme Du Châtelet (÷Qu'un autre vous enseigne...÷ et ÷Je voulais de mon coeur éternisant l'hommage...÷), 1734 ; À M. de Saint-Lambert, 1736 ; À Mme la Mise Du Châtelet sur la philosophie de Newton ; Au Pce royal de Prusse, de l'Usage de la science dans les princes, 1736 ; Au Pce royal de Prusse, 1738 ; Au Pce royal de Prusse, au nom de Mme la Mise Du Châtelet, à qui il avait demandé ce qu'elle faisait à Cirey ; Au roi de Prusse Frédéric le Grand, en réponse à une lettre dont il honora l'auteur à son avènement à la couronne ; Réponse aux premiers vers du Mis de Ximénes, du 31 décembre 1742 ; Au roi, épître présentée à S. M. au camp devant Fribourg ; Au roi de Prusse (÷J'ai donc vu ce Potsdam...÷) ; Au même qui avait adressé des vers à l'auteur sur des rimes redoublées ; À Mme Denis, nièce de l'auteur : la Vie de Paris et de Versailles ; À M. de Saint-Lambert, 1749 ; À M. Desmahis, 1750 ; À M. Darget, 9 mars 1751 ; Au roi de Prusse ( : les Deux Tonneaux) ; l'Auteur arrivant dans sa terre près du lac de Genève ; À M. l'abbé de La Porte, 1759 ; À Mme Denis, sur l'agriculture ; À Henri IV, sur ce qu'on avait écrit à l'auteur que plusieurs citoyens de Paris s'étaient mis à genoux devant la statue équestre de ce prince pendant la maladie du dauphin ; À M. le chevalier de Boufflers, 1766 ; À M. François de Neufchâteau, 1766 ; À M. de Chabanon qui dans une pièce de vers exhortait l'auteur à quitter l'étude de la métaphysique pour la poésie, 27 auguste 1766 ; À Boileau, ou Mon testament ; À M. de Saint-Lambert, 1769 ; À l'impératrice de Russie, Catherine II, 1771 ; À Horace ; le Mondain ; Défense du ÷Mondain÷, ou l'Apologie du luxe ; la Vanité ; le Marseillois et le lion, par M. de Saint-Didier ; le Père Nicodème et Jeannot ; (X) Épigrammes ; Contes ( : la Mule du Pape, l'Éducation d'un prince ; Sésostris ; le Songe creux) ; la Henriade ( : Chant I, II, VI, VII).]
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