505 |
1 |
|
|a XIII. [Épîtres. Stances. Odes. "Épîtres" : À Mgr, fils unique de Louis XIV, 1706 ou 1707 ; À Mme la Ctesse de Fontaine sur son roman de la "Comtesse de Savoie", 1713 ; À M. l'abbé Servien, prisonnier au château de Vincennes, 1714 ; À Mme de Montbrun-Villefranche, 1714 ; À M. le duc de La Feuillade, 1714 ; À M. l'abbé de *** (Bussy, ou Servien ?) qui pleurait la mort de sa maîtresse, 1715 ; À une dame un peu mondaine et trop dévote (Mme de Béthune ?) ; À M. le Pce Eugène, 1716 ; À Mme de ***, 1716 ("De cet agréable rivage...") ; À Samuel Bernard, au nom de Mme de Fontaine-Martel ; À Mme de G *** ("Quel triomphe accablant...") ; À M. le duc d'Orléans, régent, 1717 ("Prince chéri des dieux...") ; À M. le Pce de Vendôme ("Je voulais par quelque huitain...") ; Au Cal Du Bois, 1719 ; À M. de La Faluère de Genonville...sur une maladie, 1719 ; Au roi d'Angleterre, George I, en lui envoyant la tragédie d'"Oedipe", 1719 [Épître imprimée ici pour la première fois] ; À Mme de Gondrin, 1719 ; À Mme la Mle de Villars ("Divinité que le ciel fit pour plaire...") ; À M. le duc de Sully, 1720 ; À M. le Mal de Villars, 1721 ; À Mme de *** ("Il est au monde une aveugle déesse...") ; À M. de Gervasi, 1723 ; À la reine, en lui présentant la tragédie de "Mariamne", 1725 ; À M. Pallu ("Quoi, le dieu de la poésie...") ; À Mlle Le Couvreur ("L'Heureux talent dont vous charmez la France...") ; À M. Pallu, à Plombières, auguste 1729 ; Aux mânes de M. de Genonville, 1729 ; Épître connue sous le nom "des Vous et des tu" ; À Mlle de Lubert qu'on appelait Muse et Grâce, 1732 ("Le Curé qui vous baptisa...") ; À une dame, ou soi-disant telle, 1732 (Desforges-Maillard) ; À Mme de Fontaine-Martel, 1732 ; À MM. le Cte, le Chlier et l'abbé de Sade, 1732 ; À Mme la Mise Du Châtelet sur sa liaison avec Maupertuis ; À M. de Formont, en lui renvoyant les oeuvres de Descartes et de Mallebranche ; À Mme la Mise Du Châtelet sur la calomnie ; À M ***, du camp de Philisbourg, 3 juillet 1734 ; À Mlle de Guise sur son mariage avec M. le duc de Richelieu, 1734 ; À M. le Cte de Tressan, 1734 ("Hélas ! que je me sens confondre...") ; À M. le Cte Algarotti, 1735 ("Lorsque ce grand courrier de la philosophie...") ; À M. de Saint-Lambert, 1736 ("Mon esprit avec embarras...") ; À Mlle de Lubert ("Charmante Iris...") ; À M. Helvétius ("Apprenti fermier général...") ; À Mlle Sallé, 1738 ("Les Amours pleurant votre absence...") ; À Mme la Mise Du Châtelet sur la philosophie de Newton, 1738 ; À M. de Saint-Lambert ("Tandis qu'au-dessus de la terre...") ; Au Pce royal de Prusse, de l'Usage de la science dans les princes, 1736 ; Au Pce royal de Prusse, 1738 ("Vous ordonnez que je vous dise...") ; Au Pce royal de Prusse, au nom de la Mise Du Châtelet, à qui il avait demandé ce qu'elle fesait à Cirey, 1738 ("Un peu philosophe et bergère...") ; Au roi de Prusse..., en réponse à une lettre dont il honora l'auteur à son avènement à la couronne, 1740 ; À M. le Cte de Maurepas, ministre d'État, sur l'encouragement des arts, 1740 ; Au roi de Prusse, à Bruxelles, 9 avril 1741 ("Non, il n'est point ingrat...") ; 20 avril 1741 ("Hé bien, mauvais plaisants...") ; Bruxelles, 1742 ("Les Vers et les galants écrits...") ; ("Lorsque, pour tenir la balance...") ; 1744 ("Ceux qui sont nés sous un monarque...") ; Paris, 1er novembre 1744 ("Du héros de la Germanie...") ; À M. le Cte Algarotti, Paris, février 1744 ("Enfant du Pinde et de Cythère...") ; Épître au roi, présentée à S. M. au camp devant Fribourg, novembre 1744 ; Au roi de Prusse, fragment ("Ah ! mon prince, c'est grand dommage...") ; Au roi de Prusse ("J'ai donc vu ce Potsdam...") ; Au roi de Prusse qui avait adressé des vers à l'auteur sur ces rimes redoublées, 1747 ("Lorsque deux rois s'entendent bien...") ; À S. A. S. Mme la Desse du Maine sur la victoire remportée par le roi à Lawfelt, 1747 ; À M. le duc de Richelieu ("Dans vos projets étudiés...") ; À Mme Denis... La Vie de Paris et de Versailles ; À M. le Cte Algarotti, 1747 (8Ô détestable Vestphalie...8) ; À M. le Pdt Hénault, Lunéville, novembre 1748 (3 janvier 1749, 8Vous qui de la chronologie...8) ; À M. le Mal de Saxe, en lui envoyant les oeuvres de M. le Mis de Rochemore... ; À M. le duc de Richelieu, à qui le Sénat de Gênes avait érigé une statue, Lunéville, novembre 1748 ; À M. d'Arnaud, 1750 (8Enfin d'Arnaud, loin de Manon...8) ; Au roi de Prusse, 1750 (8Ainsi dans vos galans écrits...8) ; À M. Helvétius ( : Clément de Dreux) ; À M. le Cte de Tressan (8Tressan, l'un des grands favoris...8) ; À M. Desmahis, 1750 (8Vos jeunes mains cueillent des fleurs...8) ; À M. le Cal Quirini, Berlin, 1751 ; Au roi de Prusse (8Blaise Pascal a tort...8) ; l'Auteur arrivant dans sa terre près du lac de Genève, mars 1755 ; À M. Desmahis, 1756 (8Vous ne comptez pas trente hivers...8) ; À l'empereur François Ier et l'impératrice reine de Hongrie sur l'inauguration de l'Université de Vienne, 1756 (8Quand un roi bienfesant que ses peuples bénissent...8) ; À M. le duc de Richelieu sur la conquête de Mahon, 1756 ; À M. le Pdt Hénault, sur son ballet du 8Temple des chimères8... ; À M. le Mis de Ximénes, 1761 (8Vous flattez trop ma vanité...8) ; À Daphné, 1761 ; À Mme Denis sur l'agriculture ; À Mme Élie de Beaumont, en réponse à une épître en vers au sujet de Mlle Corneille, 20 mai 1761 (8S'il est au monde une beauté...8) ; À Mlle Clairon, 1765 (8Le Sublime en tout genre...8) ; À M. l'abbé de La Porte (8Tu pousses trop loin l'amitié...8) ; À Henri IV, 1766 ; À M. le Chlier de Boufflers, 1766 (8Croyez qu'un vieillard cacochime...8) ; À M. François de Neufchâteau ; À M. de Chabanon..., 1767 (8Aimable amant de Polymnie...8) ; À Mme de Saint-Julien (8Des contraires, bel assemblage...8) ; À mon vaisseau, 1768 ; À M. de Saint-Lambert, 1769 (8Chantre des vrais plaisirs...8) ; À Mme la Desse de Choiseul, 1769 (ou à M. de La Harpe, 8Des Dames de Paris...8) ; À Boileau, ou Mon testament, 1769 ; À M. Pigal, 1770 ; À l'auteur du livre des 8Trois imposteurs8, 1771 ; À Catherine II, 1771 (8Élève d'Apollon...8) ; Au roi de Danemarck, Christian VII, sur la liberté de la presse accordée dans tous ses états, 1771 ; Au roi de la Chine, 1771 ; À Horace, 1771 ; Benaldaki à Caramouftée, femme de Giafar le Barmécide, 1771 ( : À Mme la Desse de Choiseul) ; À M. d'Alembert, 1772 (8Esprit juste et profond...8) ; Au roi de Suède, Gustave III (8Jeune et digne héritier...8) ; À Mme de Saint-Julien, née Ctesse de La Tour Du Pin (8Fille de ces dauphins...8) ; À M. Marmontel, 1773 ; À M. Guys, 1776 ; À un homme (Turgot), 1776 ; À Mme Necker, 1776 (8J'étais nonchalamment tapi...8) ; À M. le Mis de Villette, 1777 (8Mon Dieu ! que vos rimes en ine...8) ; Au même, sur son mariage ; À M. le Pce de Ligne, 1778 ; À M. le Mis de Villette, les Adieux du vieillard, Paris, 1778. 8Stances :8 Stances sur les poètes épiques ; À M. de Forcalquier ; Au même, au nom de Mme la Mise Du Châtelet, à qui il avait envoyé une pagode chinoise ; À Mgr le Pce de Conti, pour un neveu du P. Sanadon, jésuite (8Votre âme à la vertu docile...8) ; À Mme Du Bocage (8Milton dont vous suivez les traces...8) ; Au roi de Prusse ( : au Pdt Hénault), en lui envoyant le manuscrit de 8Mérope8, juin 1740 ; Au roi de Prusse, en lui adressant un marchand de vin (M. Hony) ; Au roi de Prusse, Berlin, 2 novembre 1740 (8Adieu, grand homme...8) ; Au roi de Prusse, pour en obtenir la grâce d'un français détenu depuis longtemps dans les prisons de Spandau, 1743 (8Génie universel...8) ; À Mme la Mise de Pompadour, juillet 1745 (8Il sait aimer, il sait combattre...8) ; Stances à M. Van Haren, député des États généraux ; Sur le Louvre, 1749 ; Stances irrégulières à Mme la Dauphine, infante d'Espagne (8sic8 pour À S. A. R. la Pcesse de Suède, Ulrique de Prusse, soeur de Frédéric le Grand) ; Impromptu fait à un souper dans une cour d'Allemagne ; Au roi de Prusse (8La Mère de la mort, la vieillesse pesante...8) ; À Mme Denis, aux Délices, 1755 (8L'Art n'y fait rien...8) ; À M. Blin de Sainmore ("Mon amour-propre est vivement flatté...") ; À M. le Chlier de Boufflers qui lui avait envoyé une pièce de vers intitulée 8Le Coeur8 ; À M. Deodati de Tovazi, 1er février 1761 ("Étalez moins votre abondance...") ; À.. Catherine II, à l'occasion de la prise de Choczim par les Russes en 1769 (8Fuyez, visirs...8) ; À Mme la Desse de Choiseul sur la fondation de Versoy, 1769 ; À M. Saurin ; À Mme Necker (8Quelle étrange idée est venue...8) ; À Mme Du Deffant (8sic8 pour À Mme Lullin) ; les Agrémens de la vieillesse ; Au roi de Prusse sur un buste en porcelaine, fait à Berlin, représentant l'auteur et envoyé par S. M., en janvier 1775 ; Sur l'alliance renouvelée entre la France et les cantons helvétiques ; Stances ou quatrains pour tenir lieu de ceux de Pibrac, qui ont un peu vieilli (8Tout annonce d'un Dieu l'éternelle existence...8). 8Odes8 : Ode première sur le voeu de Louis XIII, 1712 ; Sur les malheurs du temps, 1713 ; Sur le fanatisme (8Charmante et sublime Émilie...8) ; À M. le duc de Richelieu sur l'ingratitude ; À MM. de l'Académie des sciences... ; Sur la paix de 1736 ; Sur la mort de l'empereur Charles VI, 1740 ; Au roi de Prusse sur son avènement au trône, 1740 ; À la reine de Hongrie, Marie-Thérèse d'Autriche, 1742 ; Sur la clémence de Louis XIV et Louis XV dans la victoire ; Ode (sur la félicité des temps), 1746 ; Sur la mort de S. A. R. Mme la Pcesse de Bareith, 1759 ; À la vérité ; Sur le carrousel donné par l'impératrice de Russie, 1766 ; Sur la guerre des Russes contre les Turcs, en 1768 ; À propos de la guerre présente en Grèce, 1768 ; Sur l'anniversaire de la Saint-Barthélemi, pour l'année 1772 ; Sur le passé et le présent, 1775.] - 424 p.
|