Diasporas scientifiques : comment les pays en développement peuvent-ils tirer parti de leurs chercheurs et de leurs ingénieurs expatriés ?

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Údair Eile: Institut de recherche pour le développement. (Údar), Waast, Roland, 1940-2022., Sall, Babacar, 1954-, Vinck, Dominique, 1959-, Bocquier, Philippe., Meyer, Jean-Baptiste, 19..-...., sociologue., Wiltzer, Pierre-André, 1940-, Hernández, Valeria Alicia, 1966-, Khadria, Binod., Brown, Mercy., Gueye, M., Henry, C., Johnson, Jean., Teferra, Damtew., Turner, W. A., Barré, Rémi, 1948-, France. Ministère des affaires étrangères. (Údar)
Formáid: E-Book
Teanga: Anglais
Français
Foilsithe: Montpellier : IRD Éditions. 2013.
Paris : Cyberlibris,
Ábhair:
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Achoimre: Depuis quelques décennies, les pays du Sud assistent à la fuite de leurs « cerveaux » vers les pays du Nord, un phénomène préjudiciable à la formation de leurs cadres et de leurs élites scientifiques nationales, inquiétant pour leur développement. Cependant, on observe depuis quelques années un processus qui pourrait compenser pour partie cette fuite de matière grise. En effet, par des apports informels, les communautés expatriées aident, conseillent et informent les institutions et les chercheurs de leurs pays d'origine. Quelle est l'ampleur du phénomène ? Quelles formes principales revêt-il ? Quelle est son efficacité ? Les responsables des pays d'origine et des pays d'accueil doivent-ils soutenir ce type d'initiatives informelles ? Si oui, par quels moyens et que peut-on en attendre ?
Rochtain Ar Líne: Accès à l'E-book
Míreanna Gaolmhara: Autre support: Diasporas scientifiques