Les technologies de l’information et de la communication et l’impératif de la sobriété.
Enregistré dans:
| Foilsithe in: | La Revue durable No 49 |
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| Formáid: | Article de revue |
| Teanga: | Français |
| Foilsithe: |
2013.
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| Ábhair: | |
| Achoimre: | Le scénario négawatt, l’une des pistes les plus justes du moment, repose sur un trépied : sobriété, efficacité, renouvelable. De ces trois éléments, le premier donne leur sens aux deux autres. C’est lui le plus fondamental, le plus fondateur. Il donne le la, le tempo, le cadre. Or, c’est précisément cet objectif que les principaux acteurs des technologies de l’information et de la communication (TIC) maltraitent avec une rare intensité. Ils font triompher l’excès, le culte du nouveau et du futile, la démesure et, au final, un gâchis sans pareil. L’évolution des TIC bafoue ainsi ce triptyque salvateur d’une manière qui illustre et éclaire toute la problématique de la durabilité : il n’y aura jamais de société durable tant que la sobriété ne s’installera pas au premier rang des valeurs dominantes. Or, avec les TIC, cette option n’est pas d’actualité. Sauf à ses marges. Les TIC sont au cœur de la dérive contemporaine. Réussir à instaurer une politique durable dans ce domaine apporterait des éléments de réponse structurants pour l’ensemble du projet politique du XXIe siècle. Il y a, comme toujours, des poches de résistance qui montrent de quelle manière mener cette tâche. Ce dossier s’attache à les identifier, les met en avant et encourage à s’en saisir. |
| Míreanna Gaolmhara: | Coinnithe i:
La Revue durable |
BU Sciences
| Ionad | Gairmuimhir | Stádas | |
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n° 49 (2013)
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Archives | 500 RS REV |
Dispo. du n° : voir "Lien"
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